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La Chajarat Mariam, véritable Rose de Jéricho est une plante qui provient des déserts d’Orient. Ce remède oriental utilisé depuis des millénaires est aujourd’hui reconnu partout dans le monde. De nombreuses femmes y ont recours, notamment pour stimuler leur fertilité.

Les origines de la Chajarat Mariam ou Rose de Jéricho

La Rose de Jéricho est également, appelée gattilier, Kef Meriem, ou encore Chajarat Mariam en langue arabe (qui signifie l’arbre de Marie). Elle trouve son origine dans les déserts d’Orient, depuis le Maroc jusqu’au sud de l’Iran. Elle pousse dans le Sahara et au Moyen Orient, notamment en Égypte, en Syrie, en Palestine, en Arabie-Saoudite (entre autres à la Mecque) et en Afrique du Nord présaharienne.
Cette plante appartenant à la famille des crucifères a également l’appellation de Rose de Jéricho car elle était jadis rapportée par les pèlerins comme symbole de la Terre sainte. C’est aussi la seule que l’on trouve dans les environs de Jéricho.

Les bienfaits de la Chajarat Mariam

On reconnaît désormais de nombreux bienfaits à la Rose de Jéricho. Mais la plus célèbre des vertus de ce remède entièrement naturel concerne la stimulation de la fertilité, tant chez les hommes que chez les femmes. Elle est d’ailleurs utilisée à cet effet depuis des millénaires dans les pays arabes par les couples en désir de concevoir.

La Rose de Jéricho stimule la fertilité

La chajarat mariam favorise la phase d’ovulation chez la femme, notamment en stimulant la production de glaire cervicale. Ce qui joue un rôle primordial dans la fécondité. Elle permet de lutter contre les troubles de l’ovulation comme l’anovulation et la dysovulation. De plus, elle contribue à améliorer la qualité de la glaire cervicale, facilitant ainsi la circulation des spermatozoïdes et la fécondation.

La Chajarat Mariam protège et traite des maux variés

On prête à la Rose de Jéricho de nombreux autres bienfaits :

Des propriétés hépato-protectrices

Comme elle a des propriétés hépato-protectrices, elle protège le foie des maladies, des infections et des attaques. Dans ce cadre, elle peut également être utilisée à titre curatif.

Des facultés hypoglycémiantes

Grâce à sa faculté hypoglycémiante, elle diminue le taux de glucose dans l’organisme, régule le taux de glycémie et permet de prévenir le diabète. Les diabétiques peuvent ainsi maîtriser leur taux de glycémie et récupérer de l’énergie. De plus, le taux de sucre étant régulé, elle permet de réduire l’hypertension artérielle notamment chez les personnes atteintes d’obésité.

Une action diurétique

Du fait de son action diurétique, la Rose de Jéricho augmente la quantité des urines, contribuant ainsi à stimuler la fonction rénale et dépurative. Cela permet d’éliminer les toxines accumulées dans l’organisme. Son usage est donc particulièrement recommandé pour les personnes souffrant de rétention d’eau et d’infections urinaires ;

Apaise les femmes enceintes et les aides lors de l’accouchement

La Chajarat Mariam apaise les douleurs des femmes enceintes et les aide lors de l’accouchement : elle facilite le travail et favorise la dilatation du col. Dans ce contexte, elle doit être consommée seulement à partir du dernier mois de grossesse ;

Une utilisation bénéfique durant le cycle menstruel et prémenstruel

Son utilisation est également bénéfique pendant le cycle menstruel et prémenstruel. Avant le début du cycle, elle soulage les douleurs de poitrine douloureuse que subissent les femmes. Elle apaise leurs migraines, leurs maux de ventre ou encore leur fatigue intense, et permet également de réguler leur cycle menstruel.

Diminue les troubles et les désagréments liés à la ménopause

La Rose de Jéricho diminue les troubles et les désagréments liés à la ménopause. Notamment elle réduit l’arthrite et maintient l’équilibre de la flore vaginale ;

Permet de traiter la conjonctivite

Elle sert également à traiter la conjonctivite, une affection généralement bénigne mais susceptible d’entraîner une baisse de l’acuité visuelle lorsqu’elle est à répétition ;

Pour les rhumes et maux de tête

En cas de rhume ou de maux de tête, la Chajarat Mariam peut être utilisée en inhalation.

La Rose de Jéricho est un remède naturel qui possède de nombreuses vertus médicinales et peu de contre-indications. Toutefois, par mesure de prudence, mieux vaut la consommer dans un premier temps en petites quantités. Ceci afin d’en voir les effets avant de commencer un traitement.
Vous nécessitez une surveillance médicale ou faites du diabète ou de l’hypertension ? Nous vous recommandons de consulter votre médecin traitant avant d’entamer ce type de cure.

Pour aller plus loin, consultez l’article :

« L’entretien et l’utilisation de la Rose de Jéricho »

« Selaginella lepidophylla ou plante de la résurrection : origines, Légendes et Vertus »

Quel entretien pour la Rose de Jéricho ? Derrière le nom de rose de Jéricho, on trouve en fait deux plantes : la véritable Rose de Jéricho ou Chajarat Mariam, et la « fausse » Rose de Jéricho, la selaginella lepidophylla appelée également plante de la résurrection. L’une peut notamment agir sur l’infertilité et l’autre soulager les femmes enceintes. Mais comment s’utilisent ces plantes ? Et sachant qu’elles peuvent servir plusieurs fois, comment s’entretiennent-elles ?

La préparation de breuvages à base de Rose de Jéricho (Chajarat Mariam)

Il est possible d’utiliser la Rose de Jéricho sous forme d’infusion ou de décoction

• En infusion à chaud : il suffit de porter un bol d’eau à ébullition. De laisser refroidir l’eau jusqu’à environ 40° C. Puis d’y plonger plusieurs brins de Rose de Jéricho, voire une fleur entière. Puis de consommer cette infusion avec ou sans sucre, au choix. L’inconvénient de cette méthode, c’est qu’elle ne permet pas de réutiliser la Rose de Jéricho plusieurs fois.

• En infusion à froid : il faut faire infuser pendant plusieurs heures dans un bol d’eau froide. Quelques brins ou la Rose de Jéricho en entier. Il faut la laisser s’ouvrir. Puis on retire la fleur du bol, on fait chauffer l’infusion obtenue en prenant garde de ne pas dépasser environ 40 °C et on la boit avec ou sans sucre. Quant à la fleur et son entretien, on laisse la Rose de Jéricho sécher pendant deux à trois semaines sur du papier absorbant avant de la réutiliser. C’est la seule préparation qui permet d’utiliser la fleur à multiples reprises.

• En décoction : avec cette méthode, on place quelques brins, voire la Rose de Jéricho, dans un bol d’eau que l’on porte à frémissement pendant dix minutes environ. Puis on filtre la décoction avant de la boire, sucrée ou non en fonction de son goût. Lorsque la Rose de Jéricho est utilisée en décoction, elle ne peut plus être réutilisée ensuite.

Comment consommer l’infusion ou la décoction de Rose de Jéricho (Chajarat Mariam) ?

Pour les femmes qui recourent à la Chajarat Mariam dans l’objectif de traiter leur infertilité, il est recommandé de boire chaque matin une tasse d’infusion. Et ça du troisième jour jusqu’au dernier jour du cycle menstruel, sur une durée d’un à trois cycles. Le breuvage se boit si possible à jeun pour faciliter l’assimilation par l’organisme. Il est possible de le sucrer, de préférence avec du miel afin d’en conserver l’effet naturel.

Pour en tirer les principes actifs, la méthode de la décoction est utilisée par :

• Les diabétiques souhaitant réguler leur taux de glycémie
• les personnes qui utilisent la Rose de Jéricho afin de traiter la conjonctivite ou des infections urinaires.

Comment conserver la Rose de Jéricho (Chajarat Mariam) ?

Après avoir séché pendant deux à trois semaines, la Rose de Jéricho peut être réutilisée. Pour l’entretien de la Rose de Jéricho entre deux usages, elle doit être conservée dans une boîte ou un sachet hermétique, puis stockée dans une pièce à l’abri de l’humidité.

Comment utiliser la Selaginella Lepidophylla ou la plante de la résurrection ?

La plante de la résurrection est appelée ainsi car alors qu’on la croirait morte lorsqu’elle se présente sous forme d’une boule de feuilles desséchées, elle s’ouvre et semble reprendre vie lorsqu’elle est immergée. Après quelques heures passées dans l’eau, elle retrouve également sa couleur verte. Ce processus peut se répéter de nombreuses fois.

Pour utiliser la selaginella lepidophylla afin de traiter les douleurs des femmes enceintes ou pendant l’accouchement, il suffit de boire de l’eau dans laquelle la fleur a trempé.

Après utilisation, la plante de la résurrection peut être conservée dans un terrarium. À condition qu’elle ne soit pas exposée au soleil, ou dans un placard plusieurs mois sans eau.

Si l’on souhaite se servir de la Rose de Jéricho afin qu’elle absorbe les énergies négatives, il convient dans ce cas de la porter sur soi.

La véritable Rose de Jéricho comme la « fausse » Rose de Jéricho fonctionnent de manière différente. Elle agit en fonction des maux et des individus qu’elles traitent. À chacun de tester les différentes formules afin de trouver celle qui lui convient.

La Selaginella Lepidophylla, également appelée plante de la résurrection, fleur de rocher, plante dinosaure ou encore « fausse rose de Jéricho », provient du désert de Chihuahua. Son existence remonterait à 300 millions d’années. Cette plante possède de nombreuses vertus médicinales. On lui prête également des pouvoirs magiques.

Les origines de la Selaginella lepidophylla

La Selaginella Lepidophylla, a aussi pour appellation, fleur de pierre, fausse rose de Jéricho ou mousse de la résurrection. Elle est originaire du désert de Chihuahua qui s’étend du nord du Mexique au sud-ouest des États-Unis (Arizona, Nouveau-Mexique et Texas).
Elle appartient à la famille des sélaginellacées, un type de fougères appelées ptéridophytes. Son existence remonterait à plus de 300 millions d’années.

Son nom, proviendrait de :

• selajo (qui désigne en espagnol des conifères ou des lycopodes)
• lepidus (mot latin signifiant agréable plaisant)
• phylla (la feuille).

Les bienfaits de la plante de la résurrection

Depuis la nuit des temps, on prête des vertus nombreuses et variées à la Selaginella lepidophylla :

• Elle agit sur la fertilité en favorisant l’ovulation ;

• La plante dinosaure soulage les douleurs des femmes enceintes et facilite l’accouchement ;

• Elle possède des vertus diurétiques, on l’utilise couramment à cet effet, notamment au Mexique.

• Elle soigne les infections urinaires ;

• Lorsqu’elle est complètement ouverte, elle capte les mauvaises odeurs et assainit l’air des pièces ;

• Portée sur le corps, la plante de la résurrection absorbe les énergies négatives ;

• Elle agit sur le diabète et la santé du foie ;

• L’eau extraite de cette plante permettrait de combattre les rides ;

• Elle permet de soigner la conjonctivite.

La fleur de pierre dans la pharmacopée aztèque et mexicaine

La plante de la résurrection est aussi connue dans la pharmacopée aztèque et mexicaine. Et cela pour ses bienfaits diurétiques, rafraîchissant et cholagogue. On l’utilise d’ailleurs couramment pour traiter les affections rénales, les calculs biliaires et les troubles de la vessie.

En plus d’être utilisée comme remède, la Selaginella Lepidophylla est symbole d’amour, de bonheur et de longévité. Traditionnellement, on la place au sein de chaque foyer dans une assiette remplie d’eau afin qu’elle protège la maison de la foudre et des incendies. Aux Etats-Unis, pendant la période de Noël, on la place sur les tables de réveillon de la même manière que l’amaryllis ou l’étoile de Noël. Dans les rituels du vaudou et de la santeria cubaine, on l’utilise pour invoquer l’amour et la fortune. Outre apporter la chance, elle aurait également le pouvoir de rajeunir les personnes qui le désirent.

Pour aller plus loin, découvrez notre article :

« Chajarat Mariam : Origines, bienfaits et vertus »

« L’entretien et utilisation de la rose de Jéricho (Chajarat Mariam et Plante de la résurrection) »

L’implication de la Rose de Jéricho dans la médecine remonte à la nuit des temps. Mais derrière cette appellation, on trouve en fait non pas une plante énigmatique mais deux. En effet, en plus de la Chajarat Mariam, la véritable Rose de Jéricho, il existe une autre plante vivace sans fleurs. C’est la selaginella lepidophylla, surnommée « fausse Rose de Jéricho ». Si elles ont des points communs, elles ont des origines différentes. Elles n’ont pas tout à fait les mêmes vertus et ne s’utilisent pas toujours de la même façon.

Les différents types de Roses de Jéricho

La rose de Jéricho Chajarat Mariam ou Anastatica hierochuntica

Il s’agit de la véritable Rose de Jéricho. Appelée également gattilier, et Kef Meriem. Elle est originaire des déserts d’Orient, depuis le Maroc jusqu’au sud de l’Iran, et appartient à la famille des crucifères. Son nom vient du fait qu’elle était autrefois rapportée comme symbole de la Terre sainte par les pèlerins.
De couleur beige tirant sur le marron, cette plante hygrométrique mesure 4 à 6 cm de large lorsqu’elle est sèche. Lorsqu’on la trempe dans l’eau, elle s’ouvre pour atteindre jusqu’à 14 cm de diamètre.

La « fausse Rose de Jéricho » plante de la résurrection ou selaginella lepidophylla

Cette autre plante que l’on trouve sous la dénomination « Rose de Jéricho » est aussi appelée mousse de la résurrection, plante dinosaure, fleur de pierre, ou fausse Rose de Jéricho. Il s’agit d’une fougère xérophyte de couleur brune grisâtre qui appartient à la famille des Lycopodiacées. Elle fait environ 9 cm de hauteur lorsqu’elle est fermée et le triple une fois immergé dans l’eau.

La plante de la résurrection provient du désert de Chihuahua qui s’étend du nord du Mexique au sud-ouest des États-Unis (Arizona, Nouveau-Mexique et Texas). Elle existerait depuis 300 millions d’années. On l’appelle ainsi du fait de son extraordinaire capacité de reviviscence.

Les bienfaits de la rose de Jéricho

La Rose de Jéricho Chajarat Mariam ou Anastatica hierochuntica

Si l’on prête de nombreux bienfaits à la Rose de Jéricho, celui qui arrive en tête de liste est certainement la fertilité. Elle est en effet réputée pour stimuler très efficacement la fertilité chez la femme (anovulation, dysovulation…) aussi bien que chez l’homme.
Notamment, elle favorise la phase d’ovulation chez la femme. De plus, elle stimule la production de glaire cervicale qui joue un rôle primordial dans la fécondité. Car une glaire de piètre qualité peut en effet faire barrage aux spermatozoïdes et ainsi constituer un obstacle à la fécondation.

La Chajarat Mariam possède également de nombreuses autres vertus :

• Ses propriétés hépato-protectrices contribuent à protéger le foie des maladies et des infections. D’ailleurs, dans ce contexte, la Rose de Jéricho peut être utilisée à titre curatif et préventif ;

• Comme elle fait baisser le taux de glucose dans l’organisme et par conséquent régule le taux de glycémie, elle agit contre le diabète ;

• Elle est diurétique, c’est-à-dire qu’elle augmente les urines en stimulant la fonction rénale. Elle a ainsi une fonction dépurative. C’est pourquoi elle est particulièrement conseillée pour les personnes sujettes à la rétention d’eau et aux infections urinaires ;

• La Rose de Jéricho soulage les femmes enceintes et facilite l’accouchement en accélérant le travail ;

• Elle produit également plusieurs actions pendant le cycle menstruel et prémenstruel. Avant l’arrivée des règles, elle apaise les douleurs de poitrine douloureuse ainsi que les migraines, les maux de ventre ainsi que la fatigue intense. Elle contribue aussi à réguler le cycle menstruel.

• La Chajarat Mariam agit sur les troubles et les désagréments provoqués par la ménopause ;

• Elle permet aussi de traiter la conjonctivite qui peut, lorsqu’elle est répétitive, avoir un impact sur la vision.

La plante de la résurrection ou « fausse Rose de Jéricho »

La plante de la résurrection a beaucoup de vertus en commun avec la véritable Rose de Jéricho :

• Elle agit aussi sur l’infertilité ;

• La plante dinosaure soulage également les femmes enceintes et favorise un accouchement dans de bonnes conditions ;

• Lorsqu’elle est entièrement ouverte, elle capte les mauvaises odeurs de son environnement ;

• Portée sur le corps, elle aurait la capacité d’absorber les énergies négatives.

La plante de la résurrection serait également utilisée dans des rituels de la santeria cubaine et vaudoue afin d’invoquer la fortune et l’amour.

Comment utiliser la véritable et la « fausse » Rose de Jéricho ?

La Rose de Jéricho Chajarat Mariam ou Anastatica hierochuntica

En règle générale, on fait tremper la fleur pendant une nuit, puis on la retire de l’eau avant de la laisser sécher sur un papier absorbant pendant deux à trois semaines avant de la réutiliser ou de la stocker. Une fois chauffée, on peut alors boire l’infusion avec ou sans sucre. Cette méthode qui consiste à faire chauffer l’infusion sans la Rose permet de réutiliser la fleur. Il est aussi possible de faire infuser quelques brins de la plante dans l’eau chaude mais dans ce cas les brins ne seront pas réutilisables ultérieurement.

Pour les femmes qui souhaitent recourir à la Chajarat Mariam dans le but de traiter leur infertilité, il est préconisé de boire cette infusion le matin, sucrée ou non, entre le troisième jour et la fin du cycle. Et ça pendant une durée d’un à trois cycles.

Dans le cadre du traitement des infections urinaires ou de la conjonctivite ou encore de la prévention du diabète, on l’utilise sous forme de décoction.

La « fausse Rose de Jéricho » ou la plante de la résurrection

Pour utiliser la selaginella lepidophylla afin de:

• Traiter l’infertilité
• Traiter les douleurs des femmes enceintes ou pendant l’accouchement

Il suffit de boire de l’eau dans laquelle la fleur a trempé.

Enfin, si l’on souhaite y avoir recours dans le but qu’elle absorbe les énergies négatives, il faut la porter sur soi.

La véritable et la « fausse » Roses de Jéricho sont efficaces dans bien des situations. Afin de conserver leurs propriétés entre deux utilisations, il convient de les laisser sécher sur un papier absorbant puis de les placer dans un sachet fermé ou une boîte hermétique rangée dans un endroit à l’abri de l’humidité.

Pour en savoir plus sur la Rose de Résurrection, consultez notre article sur l’entretien et l’utilisation de la rose de Jéricho.